AVORTER UNE GROSSESSE NON DESIREE SANS RISQUE DU VOYANT IBRAHIMA BAKARI TEL/WHATSAPP 00 22 901 67 54 98 17
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Les rituels traditionnels pour interrompre une grossesse — volontairement ou involontairement — existent dans de nombreuses cultures, souvent entourés de croyances, de tabous et de pratiques occultes ou médicinales. Il est important d’aborder ce sujet avec sensibilité, car il touche à des questions intimes, morales, culturelles et parfois dangereuses.
⚠️ Avertissement
Les rituels traditionnels pour interrompre une grossesse impliquent souvent des pratiques non médicales, parfois dangereuses, voire mortelles, pour la femme. Cette réponse a un but informatif et anthropologique, non pas prescriptif. Si tu cherches de l’aide ou des informations personnelles, il est crucial de consulter un professionnel de santé ou un organisme de soutien compétent.
🌍 Exemples de pratiques traditionnelles et croyances liées à l’interruption de grossesse
1. Afrique – Plantes abortives et rituels chamaniques
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Dans certaines régions d’Afrique subsaharienne, les femmes consultent des guérisseuses traditionnelles (sages-femmes, devineresses) pour interrompre une grossesse non désirée.
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Des plantes médicinales abortives comme la racine de cotonnier, le neem, le vétiver ou certaines écorces sont utilisées sous forme de décoctions, infusions ou inserts vaginaux.
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Ces rituels s’accompagnent parfois de prières aux ancêtres, de sacrifices symboliques (œufs, volailles), ou d’un isolement rituel de la femme.
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Dans certains cas, des causes spirituelles sont invoquées : grossesse due à un esprit, à un incube ou à un adultère spirituel.
2. Amérique latine – Croyances indigènes et pratiques populaires
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Chez certains peuples autochtones d’Amérique du Sud, des rituels chamaniques incluent la prise de plantes abortives comme la ruda (rue), le quinquina, ou la papaye verte.
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Des prières ou invocations aux divinités de la fertilité ou de la mort peuvent accompagner ces pratiques.
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Parfois, les femmes consultent des curanderas (guérisseuses) pour "faire partir" un enfant non désiré, souvent en secret.
3. Asie du Sud et Asie du Sud-Est – Ayurveda, sorcellerie et tabous
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En Inde traditionnelle, l’ayurvéda décrit des substances naturelles pouvant provoquer un “effet emménagogue” (favoriser les menstruations), qui peuvent être utilisées pour interrompre une grossesse.
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Certaines pratiques associent des mantras spécifiques, récités pour "libérer" l’utérus ou demander la clémence de divinités comme Kali ou Durga.
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Dans certaines zones rurales, des amulettes, des bains rituels, ou des exorcismes légers sont faits pour éliminer ce qui est perçu comme une “grossesse impure” ou surnaturelle.
4. Europe ancienne – Herboristerie, magie et tabous religieux
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Avant la médecine moderne, les femmes européennes utilisaient des herbes abortives comme :
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L’armoise
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Le persil sauvage
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La rue officinale
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La morelle noire
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Ces herbes étaient administrées en infusion ou placées dans le vagin.
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Dans certains cercles de sorcières ou de guérisseuses, des rituels magiques impliquaient la lune décroissante, des invocations, ou des malédictions destinées à « faire couler » le sang.
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L'Église condamnait ces pratiques, les associant à l'hérésie ou à la sorcellerie.
5. Mondes islamiques – Religion et croyances populaires
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L’islam autorise l’interruption de grossesse dans certaines conditions, généralement avant 120 jours, selon certaines écoles juridiques.
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Cependant, en dehors de la loi religieuse, certaines femmes se tournent vers des roqya (prières coraniques) pour expier ou réparer ce qu’elles perçoivent comme un péché.
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Dans certains milieux populaires, la grossesse hors mariage est vue comme une honte, et des femmes tentent d’y remédier discrètement avec des tisanes abortives (cannelle, clous de girofle, rue).
✨ Symbolismes associés à l’avortement dans les traditions
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Punition divine : Dans de nombreuses traditions, une fausse couche ou un avortement est interprété comme une conséquence d’un acte immoral (adultère, transgression rituelle).
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Rite de purification : Après un avortement, certaines cultures imposent à la femme un rituel de purification, avec des bains, des jeûnes, ou des offrandes.
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Esprit non né : Dans certaines croyances (par exemple au Japon avec les mizuko), l’âme de l’enfant avorté devient un esprit errant qui doit être apaisé par des rites funéraires ou des offrandes (jouets, encens).
❗ Pourquoi ces rituels ont existé (et parfois existent encore)
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Absence de médecine moderne accessible
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Pressions sociales (grossesse hors mariage, pauvreté, viol)
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Interdiction légale ou religieuse de l’avortement médicalisé
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Savoir transmis entre femmes en secret (traditions matriarcales ou marginales)
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